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Z2 Coms et Recherches de Zighcult
2 janvier 2008

Recherche au sujet du patronyme Mekhloufi

Origine de cette demande:

 

Bonsoir,

J’aimerais savoir si vous pouviez me diriger pour des recherche concernant l’origine de mon nom de famille qui est mekhloufi , originaire de kabylie je n’ai aucune famille en France, mon grand père etant mort avant ma naissance et mon père quand j’avais 5 ans

Y a –t-il des sites algerien pour rechercher cela

Merci de votre aide par avance

V P M  02/01/08 01:32

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REPONSE

 

Au sujet des Mekhloufi, voici ce que j'ai trouvé comme personnes portant ce patronyme:

Les MEKHLOUFI, nés sur la période
1966 - 1990 dans les 97 départements : 58
source

Les Mekhloufi : 253 personnes

253 personnes portent le nom Mekhloufi aujourd'hui en France selon les estimations de L'Internaute.

Le nom Mekhloufi figure au 40 581e rang des noms les plus portés en France.

es départements dans lesquels les Mekhloufi sont le mieux représentés :

    * Orne (61) : Mekhloufi, 354e nom le plus porté
    * Bouches-du-Rhône (13) : Mekhloufi, 6 049e nom le plus porté
    * Rhône (69) : Mekhloufi, 6 880e nom le plus porté
    * Hauts-de-Seine (92) : Mekhloufi, 10 982e nom le plus porté

 

source

 

 

En provenance de Copains d'avant:

 

ABDI Sabrina (MEKHLOUFI)      BONDY (93140)    
DESQUIENS Sabrina (MEKHLOUFI)     PUGET SUR ARGENS (83480)    
MEKHALIF Salima (MEKHLOUFI)     TOURCOING (59200)    
MEKHLOUFI Abder     TIARET    
MEKHLOUFI Belgacem     CORBEIL ESSONNES (91100)    
MEKHLOUFI Dalila     GAGNY (93220)    
MEKHLOUFI Fatiha     LYON (69000)    
MEKHLOUFI Fazil     SAINT JEAN CAP FERRAT (06230)    
MEKHLOUFI Kamel     BOIS COLOMBES (92270)    
MEKHLOUFI Kendra     EAUBONNE (95600)    
MEKHLOUFI Miloud     TRAPPES (78190)    
MEKHLOUFI Sabrina     LILLE (59000)    
MEKHLOUFI Samia     LYON (69000)    
MEKHLOUFI Samia     VILLEURBANNE (69100)    
MEKHLOUFI Samy     LYON (69000)    
MEKHLOUFI Severine     RENNES (35000)    
MEKHLOUFI Valerie     GAUVILLE (61550)    
MEKHLOUFI Xavier     MARSEILLE (13000)    
VALERIE PESTY Valerie (MEKHLOUFI)     VILLERS EN OUCHE (61550)    

 

pour leur écrire aller voir à cet url:
http://copainsdavant.linternaute.com/liste_personne/nom/mekhloufi/1/

 

 

Vous même êtes citée sur copain d'avant et sur trombi  (rassurez-vous, je ne mettrai pas de détails précis vous concernant)

 

des personnes ont ébauché des arbres généalogiques ici

 

 

on trouve également des photos scolaires d'Algérie 1962-1972 avec des Mekhloufi (les anciens de l'école de la cité ouvrière)

 

 

 

°°°000°°°

 

Des Mekhloufi "remarquables"

RACHID MEKHLOUFI

Biographie
Rachid Mekloufi
(ou Mekhloufi), né le 12 août 1936 à Sétif (Algérie), est un ancien footballeur algérien puis devenu entraîneur.

Rachid Mekloufi fut l'un des meilleurs joueurs algériens de l'histoire et l'un des tous meilleurs joueurs ayant évolué dans le championnat de France. Il rejoint la Métropole en 1954 sur les conseils du jeune joueur stéphanois Setboum qui indique à Jean Snella qu'il connaît un jeune joueur algérien très talentueux. Jean Snella convoque le joueur de dix-huit ans pour un essai. Une demi-heure plus tard, Rachid Mekloufi était engagé. "Pour qui connaît le football, sa classe apparaissait dès le premier touché de ballon" (Jean Snella).

Il est éblouissant avec les Verts et dispute même quatre matches avec l'équipe de France A entre 1956 et 1957. Il est alors l'un des meilleurs espoirs du football français. Quelques semaines avant la fameuse Coupe du monde 1958, Rachid rejoint l'équipe de football du FLN le 14 avril 1958. La Guerre d'Algérie explique cette décision qui touche également d'autres joueurs algériens du championnat France. Avec l'équipe du FLN, Rachid dispute des matches de gala à travers le monde afin d'aider la cause algérienne.

En 1962, la Guerre d'Algérie s'achève et l'équipe du FLN se disloque en mars 1962. "Grillé", Mekloufi ne peut pas revenir tout de suite en France et se fait engager au Servette de Genève par l'ancien et futur entraîneur de Saint-Etienne, Jean Snella. Après son rôle déterminant dans l'obtention d'un titre de champion suisse, il suit Jean Snella et retrouve ainsi les Verts. Certains s'inquiétaient des réactions du public face à ces joueurs, mais la réaction du public du Stade Geoffroy-Guichard fut formidable. Un grand silence se fit lorsque Rachid toucha son premier ballon, puis le public explosa de joie : Rachid était de retour!
Il devient entraîneur à Bastia en occupant un poste d'entraîneur-joueur. Il abandonne ensuite sa carrière de joueur pour devenir sélectionneur de l'équipe d'Algérie. Il fut même brièvement président de la Fédération algérienne en 1988.

source

livre RACHID MEKHLOUFI : L'IMAGINATION AU BOUT DU PIED écrit par SEDDIKI HOCINE

source

Rachid Mekhloufi
ALGÉRIE - 23 janvier 2005 - par FAOUZI MAHJOUB

Ancien footballeur algérien

Tunis, été 2003. Par une belle soirée d'août, l'Espérance de Tunis affronte le Canon de Yaoundé au stade d'El-Menzah. Dans la tribune d'honneur, un spectateur attentif : Rachid Mekhloufi, le Zidane des années 1957-1970. Et voilà que débarque l'entraîneur français Roger Lemerre, responsable de la sélection de Tunisie. Embrassades chaleureuses. « Rachid ! Ô Rachid ! Tu m'en as fait voir quand tu jouais à Saint-Étienne et moi à Sedan. J'étais défenseur à l'époque. Lors du premier match, tu t'es engagé sur la droite, je t'ai suivi, le ballon s'est retrouvé à gauche.

Je n'ai rien compris. La deuxième fois, j'ai essayé de faire attention. En vain, ce fut le même scénario. La troisième fois, je me suis dit : "Je ne le suivrai pas !" Mais le ballon est parti de nouveau à gauche. J'ai enfin compris : tu avais des yeux derrière la tête ! »
Et l'ancien sélectionneur de l'équipe de France d'éclater de rire. Lemerre, comme beaucoup d'autres défenseurs, avait été embarqué sur les « fausses pistes », la fameuse spécialité de Rachid Mekhloufi, le maestro du contre-pied.

En 1954, l'adolescent tout juste dégrossi quittait sa ville de Sétif, où il est né le 12 août 1936, et signait son premier contrat avec l'Association sportive de Saint-Étienne (Asse). Le bail avec les Verts durera jusqu'en 1968. Dans l'intervalle, l'Algérien fut à quatre reprises champion de France, remporta la Coupe, disputa la Coupe d'Europe, compta quatre sélections avec l'équipe de France, fut sacré champion du monde militaire en 1957.
L'artiste avait rejoint en avril 1958 l'immortelle équipe du FLN (Front de libération nationale). Il ne la quittera qu'en juin 1962, à l'indépendance de son pays. Avec les footballeurs de la Révolution, celui que l'on appela le « Moudjahid du ballon » sillonna le Maghreb, le Moyen-Orient, l'Europe de l'Est et l'Asie. Il s'égara ensuite une saison au Servette de Genève avant de retrouver le club du Forez, et surtout un entraîneur mythique, Jean Snella.
Apôtre du football offensif et collectif, Jean Snella transmit sa foi à son élève surdoué dont il admirait le talent : « Rachid, témoigna-t-il de son vivant, fait partie de la race des savants. Ils n'ont rien à apprendre. Ils inventent le foot. Pour les entraîneurs, ce sont des perles. » Et Robert Herbin, coéquipier de Mekhloufi et son « complice » lors des années glorieuses des Verts, d'ajouter : « Rachid est incomparable par ses coups de patte. Il sait prendre tout son monde en défaut par des attitudes, des amorces, des courses là où "ce n'est pas vrai". Créer l'inattendu, c'est bien là le secret des grands footballeurs. Rachid est le roi de l'inattendu. »
Juin 1970. Après un passage à Bastia, Mekhloufi raccroche les crampons et rentre en Algérie. Il dirige à deux reprises l'équipe nationale (1971-1972 et 1975-1979), les sélections du Maghreb et d'Afrique en 1972 ainsi que les militaires algériens. Directeur technique national, il est de la belle campagne de l'Algérie au Mondial 1982. Il reprend du service comme entraîneur et part exercer en Tunisie puis en Arabie saoudite, fait une halte à Mulhouse avant de revenir à Alger, où il accède, en 1988, à la présidence de la Fédération de football, poste qu'il quitte totalement désabusé deux ans plus tard : « Vous savez, explique-t-il, j'ai une démarche qui ne plaît pas toujours aux décideurs. Elle est logique pour la majorité, mais illogique pour eux, et ça a toujours été comme cela. »
Rachid repart s'installer en Tunisie, à La Marsa, d'où est originaire son épouse. Il tente une dernière fois l'aventure en acceptant d'encadrer le club libanais Al Nejmeh de Beyrouth. Il enrichit son palmarès de deux trophées avant de rendre définitivement son tablier fin 1998.

Membre de la Commission technique de la CAF (Confédération africaine de football), Mekhloufi s'évertue à y défendre ses idées. Il appelle au respect de l'intelligence et de la personnalité du footballeur africain, multiplie les propositions, se dévoue pour toutes les missions qui lui sont confiées. En janvier 2000, il est candidat au Comité exécutif de la CAF. Les carriéristes et les potentats lui font barrage : ils n'aiment pas les footballeurs, et la personnalité de Mekhloufi, autant que son prestige et son discours ne leur plaisent pas. Qui plus est, la CAF, qui distribue à tour de bras les décorations à de faux serviteurs du ballon, l'oublie. Idem du côté des autorités sportives algériennes, peu reconnaissantes. Heureusement, l'Unesco n'a pas la mémoire courte et, le 7 décembre 2004, à Athènes, elle remet son prix à Rachid Mekhloufi pour services rendus à l'éducation physique et au sport.

source

RACHID MEKHLOUFI

Rachid Mekhloufi et les autre membres de l’équipe du FLN (à l’exception de Saïd Amara qui est président de la commission de candidatures à la présidence de la FAF) ont quitté la salle où se déroulait l’AG quand Raouraoua à refusé de donner la parole à Allik et à Mouldi Aïssaoui. « Il n’y a pas de débat, comment voulez-vous qu’on progresse », s’est exclamé Rachid Mekhloufi. « Depuis que l’AG a débuté, ses membres ne font qu’applaudir. C’est une honte. Pourquoi empêcher qu’il y ait un débat contradictoire et fructueux. Pourtant Raouraoua a insisté sur ce débat. C’est une honte. Les membres de l’assemblée générale ont trahi l’Algérie. C’est une véritable maffia », dira Mekhloufi avant d’ajouter : « Le président de la FAF a insulté un ancien ministre de la République, Mouldi Aïssaoui ».

S’agissant de son éventuelle candidature à la FAF, il répondra : « S’il y a des élections honnêtes, je serai candidat, sinon il ne reste plus rien dans le football algérien. Dommage », se plaint Rachid Mekhloufi.

K. M., Source : El Watan

source

DEUX AUTRES:

 



Mohamed Mekhloufi, fondateur en 1992 du Mouvement pour un État Islamique
source

L'affaire Hamdani Adda, 1926-1962  (Essai) - Editions Mekhloufi, Alger, 1991
source

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ORIGINES GENEALOGIQUES:

II. LES OULED SIDI BOUZID
Boulefaa, Sohbi, Hassani, Zaid, Antar, Touhami, Habbib, Senouci, Gueffaf, Bouti, Bouzidi (de Larbaa), Guelloula, Hammani, Othmani, Mouattah, Labtar, Boumediene, Haddabi, Benbouzid, Mekhloufi.

Source (allez consulter ce forum et sa page source)


Aflou , ville hospitalière



Dans cette grande Daira (Arrondissement jadis) qui aspire à une mutation digne  de son ampleur, de son histoire, comme celle de devenir Wilaya (Département)…l’étranger à la région s’y sent vraiment chez lui. L’originaire y vit en proie à une ségrégation tribale impossible à accepter de nos jours, le poussant à médire inconsciemment son voisin. Un voisin qu’il considère comme un frère qu’il ne peut en aucun cas négliger dans les moments difficiles !

Tu peux être battu à mort par un garçon d’Aflou et finir par passer une bonne nuit chez lui, le ventre plein, gai…avec peut être,  l’œil au beurre noir, comme on dit…

Les diverses tribus qui composent Aflou, ont leurs communes et Dairas qui l’encadrent, à des distances qui ne dépassent pas quatre-vingt-dix kilomètres. Les tribus sont scindées en Achraf (nobles) par leur lien de parenté à notre prophète Mahomet (Que Dieu prie pour lui ainsi que pour les membres de sa famille, que son salue les réconforte) …et les autres musulmans, sans doute originaires de pays.

Les nobles portent le nom de leurs aïeuls, avec un additif « Sidi » synonyme de « maître ». Ils sont issus du même arbre généalogique, leur origine commune va jusqu’à Fatima Ezzohra, fille du prophète Mahomet, en passant par Lokman fils d’Idris le petit, fils d’Idris le grand, fils d’Elhousseine el mouthana, fils d’Elhousseine essebti, fils de Fatima Ezzohra, fille de Mahomet et épouse de son cousin Ali ben Abitaleb, fils de Abdelmoutalib- Mahomet est le fils d’Abdelah, fils de Abdelmoutalib - fils de Hachem, fils de Abdelmanef, fils de Kaci, fils de Kilab, fils de morra, fils de Kaab…jusqu’à Adnan.

Les Ouleds sid’nacer (commune d’Agneb) sont répandus à l’échelle nationale. Les autres sont :  Les Ouled sidi Hamza (daira de Brida - une fraction importante se trouve à Msila. On les appelle Ouled sidi Hamla - ), les Ouleds sidi Belgacem (daira d’El-guetat), les Ouled sidi Bouzid (commune de sidi Bouzid), les Ouled sidi Youssef (commune de Tadjrouna)…Après viennent les Beni-Hillal (commune de Ain sidi Ali),  importants  par leur nombre et leur histoire, ils sont répandus dans beaucoup de régions du pays, les Ouled Daoud (commune de Sebgag ), les Ouled Ali (commune de Oued morra), les gens d’El ghicha (commune d’El ghicha , aux cites touristiques importants et dont les habitant ont beaucoup contribués après l’indépendance à l’Alphabétisation des habitants d’Aflou. Ils sont aussi conservateurs fidèles, avec les Ouleds sidi Bouzid, du Coran et de la Sounna, composantes essentielles de la religion Musulmane), les habitants de Taouiala ( commune de Taouiala – Ksar ou chateau, qui requiert une valeur historique et évidemment touristique), les Ouled zirri, les Frachich, les Ouled Mokha, les Rhamna…et d’autres fractions.

Toutes ces population se disent d’Aflou et s’y rencontrent. A l’intérieur entre eux, leurs mentalité sont distinctes, variant de l’amorphe à l’effronté. A l’extérieur, ils sont identiques et d’une solidarité à couper le souffle !

Pour Ali les habitants d’Aflou dit »Djebel Amour », forment un échantillon très représentatif de l’Algérie : Des citoyens de toutes les régions du pays le peuplent et y vivent en harmonie avec les originaires dont ils ont hérité la mentalité. Il est fière d’être natif de cette contrée.


( Tiré du livre : ‘L’EDUCATEUR’ )
Silhad19@yahoo.fr

source



Le pieux village de Sidi-Bouzid

---------Beaucoup plus austère, assez pauvre en ressources et en eau, relai entre Aflou et Djelfa, peuplé d'environ 1.000 âmes, Sidi-Bouzid, chez les Ouled. Mimoun Chéraga, est bâti autour de la tombe et de la zaouïa de son saint éponyme : un chérif idrisside, venu de Fès au début du VI"'e siècle de l'Hégire (XII11° C) et dont les descendants sont dispersés nombreux non seulement dans le Djebel Amour, mais à Bel-Abbès, El Hamel, Mostaganem, Ouled Djellal, et même au Sous marocain et jusqu'à la Mecque en Arabie. Ils viennent visiter sa tombe. La zaouïa est rahmania et dépend d'El Hamel. Elle y a envoyé ses meilleurs manuscrits anciens et je n'y ai guère trouvé qu'une biographie moderne rédigée en 1351 (1932) par Si Abouzid ben El Hadj Abilqqâcem, sur le saint ancêtre, qui aurait vécu cent soixante ans, dont quarante à Mekka, quarante à Fès, quarante en voyage, avant de mourir ici. Il aurait été, me dit-on, disciple de Ahmed Ghazâli, frère du grand Ghazâli, ce qui est une belle référence dans le coufisrne.

---------La mosquée est très simple, avec un minaret sommaire constitué par une sorte de cage à hauteur d'appui, sur un angle du mur et à laquelle on accède par un escalier extérieur. Elle s'élève sur une esplanade d'où l'on découvre un admirable et assez tragique panorama vers Zénina au nord-est, Laghouat au sud, et Aflou au sud-ouest.

source

 

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OUTILS pour les recherches onomastiques, éthymologiques (issus de la table des matières de zighcult)

Ethymologie, toponymie, retour aux sources des dénominations

  1. Noms de famille, rectificatifs kabyles
  2. Noms de lieux, rectifcatifs kabyles
  3. Ethymologie berbère de mots, beaucoup de noms de lieux 1
  4. Ethymologie berbère de mots, beaucoup de noms de lieux 2
  5. Toponymie

                                   Ces lexiques et dicos arabes, hébreux peuvent s'avérer utiles lors de recherches: éthymologique, sémantique, toponymique ou sur la prénomination

  1. Mots français d'origine arabe
  2. Dictionnaire des racines sémitiques arabe, hébreu... (en anglais)
  3. clavier hébreux en ligne
  4. page spéciale langue hébraïque
  5. Mots latins ou supposés latins en berbère 
  6. Usuel dico Marocain-Français (entrer le mot, ou dérouler la liste et faites taire les "pop-up" publicitaires! site par ailleurs intéressant avec des vidéos- ADSL recommandé pour les visionner)
  7. clavier arabe en ligne
  8. Dicoarabe
  9. Lexique arabe:

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Des pistes pour des forums:

recherches généalogiques

créer un forum à votre nom

voyez si quelque chose peut faire votre bonheur sur cette liste de forums algériens où l'on traite de généalogie

 

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Des pistes pour les recherches généalogiques et éthymologiques ( qui peuvent dépasser le cadre de la France)

ce chapitre a été déjà traité ici, mais je vous le recopie

pistes gratuites:

1) http://www.beaucarnot-genealogie.com/contenu/1-assistance-genealogique/

2) Les archives des pays autrefois sous protectorat ou mandat français (Syrie et Liban, Tunisie et Maroc) sont conservées :

  • aux Archives du Ministère des Affaires étrangères, sous-direction de l'Etat civil, 11 rue Maison-Blanche, 44 091 Nantes cedex 9, où l'on devra s'adresser pour tout acte datant de moins de 100 ans.
  • aux archives du Ministère des Affaires-Etrangères, au ministère même (37 quai d’Orsay, 75 007, Paris), pour les actes de plus de cent ans.

Les recherches à Nantes peuvent être confiées à une généalogiste professionnelle, spécialiste du dépôt : Marie-Hélène Leray, 3 impasse du Niger, 44 800, Saint-Herblain.

3) www.geneanet.org vous donnera gratuitement accès à plus de 110 millions d’informations, classées par patronymes (autrement dit, tous sont renseignés). Saisissez le vôtre sur la page d’accueil (mais là encore, pensez aux problèmes d’orthographe !). Vous pourrez alors surfer entre les informations concernant votre nom, communiquées par des chercheurs, avec lesquels vous pourrez aisément entrer en contact. Peut-être vous y trouverez-vous un morceau de votre généalogie déjà établi (cela arrive !)

3) premiers pas en généalogie, conseils

et en cas de nécessité, pour aller plus loin:

recevoir une étude sur l'éthymologie de son patronyme (service payant)

Chambre Syndicale des Généalogistes et Héraldistes de France (ce sont des services payants faits par des professionnels)

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Commentaires
A
slt je porte le nom de fammil DAOUDI j aimerai savoir l origine de ce nom mon grand pere est d origine de OULED DJELLAL BISKRA MOI J HABITE A ANNABA et ce nom est tres frequent ici a annaba meme il existe un village ou presque toute sa population portent ce nom mon grand pere a quitte ouled djellal dans les annees 20 pour s insttale a annaba il a meme laisser une tres grande terre agricole merci de me renseigner plus tchao
K
Boudoukha est une ville minière d'Algérie située dans la wilaya de Skikda.<br /> <br /> et ouled Bouzid renvoie à la Wilaya de Lagouhat<br /> <br /> deux wilayas fort éloignées l'une de l'autre<br /> l'une portuaire, littorale, forestière et touristique, l'autre oasis situé dans la région du Djebel amour, région d'extraction de gaz naturel<br /> <br /> Non, je n'ai pas de renseignements précis sur l'origine de ce nom, et je ne peux que vous renvoyer à la fin de cette note, là où j'ai marqué toutes les url de pistes possibles pour faire des recherches sur les patronymes.
M
Bonsoir,<br /> <br /> J’aimerais savoir si vous pouviez me diriger pour des recherche concernant l’origine de mon nom de famille qui est boudoukha , originaire de el eulma on nous surnomme les ouled bouzid merci !!!
A
la population d' EL GHICHA se compose aussi des arabes nobles (achraf) qui sont: ouled sidi mohammed ben mansour (les descendant s de sidi mansour boukarkour (éléve de sidi abderrahmene d' ALGER ) et ouled sidi brahim nougba (descendant de sidi bouali d'el bayadh) , et les khoualed (ouled sidi khaled ) et les arabes ajouad (beni hillal comme MEHAMDA et autres familles sans douars? et merci
M
merci beaucoup
Z2 Coms et Recherches de Zighcult
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